Une seconde vie pour le Chalet du parc de la Tête d’Or à Lyon

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L’équipe de Maison Gutenberg est fière de vous annoncer sa participation au projet de restauration du Chalet du Parc de la Tête d’Or.

Afin de faire de ce lieu un point de rendez-vous entre culture et écologie, notre équipe constituée entre autres de la Fondation GoodPlanet, La Fabuleuse Cantine, et Youse a remporté en novembre dernier l’appel d’offre de la Ville de Lyon pour la rénovation de ce bâtiment laissé à l’abandon depuis 2013.

 

Notre projet :  faire du Chalet du Parc un lieu totem de la transition écologique et sociale en lien avec une programmation d’expositions annuelles de grande envergure. Ce tiers-lieu-éco-culturel offrira 3 espaces : le premier, dédié au Parc de la Tête d’Or et à un restaurant anti-gaspi. Un second espace accueillera des expositions pour sensibiliser sur les enjeux écologiques actuels et imaginer collectivement le monde de demain, tandis que le troisième sera réservé aux conférences et aux espaces de travail.

 

 

Ce projet collectif n’aurait pas été possible sans nos partenaires : Kaléido’Scop, La Formidable Armada , Gilles Facilitateur Public, Inclusif (Isabelle Chenevez), Jardin-Patrimoine, LFA Looking For Architecture, Atelier CH.V, eEgénie, OTEIS Conseil & Ingénierie, Denizou, DPI STRUCTURE & GÉNIE CIVIL , Minéka, Alpes Contrôles, InovaYa.

Nous remercions également  nos partenaires Evolem et la Banque des Territoires de nous accompagner en tant que co-investisseurs dans ce projet d’intérêt collectif.

 On vous donne rendez-vous à partir de 2025 !

 

Visuel: Youse, LFA et Charlotte Vergély, Filippo Bolognese

Regards sur nos restes — Exposition aux Halles du Faubourg

Trois enfants autour de l'installation artistique d'Antonin Tricard, photo de Lionel Rault pour Maison Gutenberg.
Exposition "Regards sur nos restes" — Maison Gutenberg
Exposition "Regards sur nos restes" — Maison Gutenberg. "Art en grève" par Victor Boucon, photo de Lionel Rault.
Exposition "Regards sur nos restes" — Maison Gutenberg

Cette exposition a été initiée par Romain Weber de Maison Gutenberg et Valérie Disdier, coproduite par Maison Gutenberg et l’École Urbaine de Lyon. Elle présente différents regards d’artistes sur la notion de déchets, s’intéressant à l’objet en lui-même, sa potentielle valeur artistique, ou encore la manière dont il est produit et son devenir :

 

« Et si nous considérions les déchets comme une ressource et un sujet pour les artistes. Le monde artistique s’est depuis longtemps saisi des objets manufacturés en transcendant leur fonction utilitaire. Au XXe siècle, les artistes s’ouvrent aux rebuts, aux objets destinés à être jetés, aux matériaux qui en sont issus, aux lieux délaissés : « Ready-Made », « Junk Art » ou « Recycled Art », etc. Ils participent à révéler une société du jetable et de l’obsolescence, de la surconsommation et du gaspillage, de la toxicité et de la pollution. 

Certains voient global, ils prennent le pouls du désastre écologique à l’œuvre, ils cherchent à sublimer la catastrophe, ils révèlent aussi avec poésie la puissance de phénomènes qui nous dépassent, au mieux avec humilité et générosité. Tous nous indiquent comment la pratique artistique peut transformer nos usages, à l’heure où la prise de conscience environnementale s’intensifie, à l’ère de l’anthropocène, celle de l’homme.”

 

Texte de Valérie Disdier de l’École Urbaine de Lyon.

 

Les artistes : 

Victor Boucon (France), Jorge Caterbetti (Argentine), Nicolas Coutable (France), Lor-k (France), Johann Rivat (France), Antonin Tricard  (France).

 

Crédit photos : Lionel Rault

Pour la beauté du geste — Exposition aux Halles du Faubourg

Exposition "Pour la beauté du geste" de Maison Gutenberg, photo de Lionel Rault.
Exposition "Pour la beauté du geste" de Maison Gutenberg, photo de Lionel Rault. Pastel blanc de Giulia Zanvit sur papier bleu.
Exposition "Pour la beauté du geste" de Maison Gutenberg, photo de Lionel Rault.

La dernière exposition collective des Halles du Faubourg réunit plus d’une trentaine d’artistes, partenaires, et amis.

 

Des sensibilités fortes et variées, avec qui nous avons pu partager, échanger et créer. Par élan de solidarité, ils ont accepté de participer à ce dernier projet, l’ultime bataille que nous mènerons avec eux dans ces lieux. Et même si le combat peut s’avérer perdu d’avance, nous le livrerons par principe. Pour défendre des valeurs auxquelles nous croyons fermement, mais surtout, pour préparer l’avenir et nous permettre de bâtir ensemble le monde de demain.

 

Les artistes :

Nawelle Aïnèche, Anide, Henri Aribert-Desjardins, Barroude, Amélie Berrodier, Victor Boucon, Burcher Artiste Peintre, Chufy, Nicolas Coutable, Ecole Urbaine de Lyon, FRIGO & CO, Adrian Gelineau, Yandy Graffer, Dounia Jauneaud, Jeux demain collectif, Kesadi, Henri Lamy [Art], Jérôme Lavenir, Laurent Perche, Adrien Pinon, David Proux, Quetzilla, Lionel Rault, Pauline Repussard, Ugo Sebastiao, Simonux, Maud Soudain, Nabil Tazi, Antonin Tricard, Giulia Zanvit, Salah Ghezal, Khalil Hemsork.

 

Crédit photos : Lionel Rault 

Lignes — Exposition personnelle de Grems

GREMS - 070 - 3106
GREMS - 010 - 2833
GREMS - 027 - 2875
GREMS - 055 - 3044
GREMS - 028 - 2988

Le post graffiti · Grems défend une approche expérimentale s’inscrivant à contre-courant des réflexes que les graffeurs reproduisent machinalement, à force de vouloir respecter les règles et les conventions d’un art qui paradoxalement prétend s’en affranchir.

Il utilise la force impulsive du graffiti, ainsi que ses techniques et matériaux pour s’exprimer dans un nouveau langage instinctif et singulier. Une libération hors cadre du geste, du trait et de la forme, qui projette son travail vers un résultat proche de la peinture contemporaine des expressionnistes abstraits tel que Pollock ou Cy Twombly, ses grandes influences depuis ses études aux Beaux-Arts.

 

Crédit photos : Lionel Rault

 

Les Nouveaux Sauvages — Exposition aux Halles du Faubourg

Exposition "Les Nouveaux Sauvages" de Maison Gutenberg aux Halles du Faubourg, photo de Lionel Rault
Exposition "Les Nouveaux Sauvages" de Maison Gutenberg aux Halles du Faubourg, photo de Lionel Rault
Exposition "Les Nouveaux Sauvages" de Maison Gutenberg aux Halles du Faubourg, photo de Lionel Rault

Co-commissariat piloté par Maison Gutenberg  avec : Galerie Françoise BessonMirage FestivalGalerie Bleu du CielFrigo&cocollectif Superposition.

 

Cette exposition a été initiée en 2018 par Maison Gutenberg dans les Halles du Faubourg. Elle prône une démarche plus accessible de l’art contemporain et une collégialité dans le choix des artistes et des œuvres présentées. Dans cette optique, a été mis en place un co-commissariat d’exposition entre plusieurs structures aux identités variées et directions artistiques plurielles.

 

Les œuvres présentées lors de l’exposition abordent la condition humaine et notre place dans un monde en perpétuel mutation, tout en proposant un voyage sensible et poétique pour les visiteurs. En un mois et demi d’ouverture, d’octobre à décembre 2018, l’exposition a attiré plus de 10 000 visiteurs.

 

Artistes : Nawelle Aïnèche (France), FRIGO&CO (France), Michael Sebastian Haas (Allemagne), Les Ateliers La Mouche (France), Henri Lamy (France), Marie Castagnola (France), Thaïva Ouaki (France), Laurent Perche (France), Massimiliano Rossetto (Suisse), Guillaume Robert (France), Marie-Anita Gaube (France), Koey (France), Sphinx (France), Kesadi (France), Shab (France), Florent Quignon (France), Golem (France), Caroline Balland (France).

 

Crédit photos : Lionel Rault

Leeroy New — Résidence artistique et exposition à  la MAPRAA

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Maison-Gutenberg_exposition-Leeroy-New_04_credit-Lionel-Rault
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En 2018, Maison Gutenberg accueille son premier artiste international en résidence. Après avoir lancé un appel à projet dans toute l’Asie, c’est finalement Leeroy New, sino-phillipin qui sera sélectionné. Sa venue s’est concrétisée par une exposition personnelle présentée à la MAPRAA (Maison des Arts Plastiques Auvergne Rhône-Alpes).


Artiste protéiforme, Leeroy New d’abord considéré comme sculpteur a élargi sa pratique, s’inspirant autant du cinéma, du théâtre, de la photographie et du design que de la performance et de la danse. Entre costumes futuristes et installations monumentales, l’enjeu pour New est d’intégrer à son œuvre la culture matérielle de son propre environnement.
Ainsi, il interroge l’espace urbain par des productions peu communes à l’imaginaire science-fictionnel poussé, en utilisant des matériaux de récupérations. Le but étant de créer un nouveau langage artistique où les marginaux, tant matériels qu’humains, reprennent le pouvoir de l’espace public.

Un an plus tard, New est repéré par Hugo Vitrani pour exposer au Palais de Tokyo à Paris (exposition Prince·sse·s des villes).

 

Crédit photos : Lionel Rault